Pour déterminer si on pourra voir une réflexion spéculaire sur une surface, on peut déterminer l'angle de réflexion de la lumière, du point de vue de la caméra. Si la source de lumière se situe dans la famille d'angles représentée par la flèche, il y aura un spéculaire.
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| Du point de vue de la caméra, le spéculaire sera visible dans cette famille d'angles. |
Encore une fois, on dirige une lumière cohérente sur diverses surfaces pour en observer les spéculaires. Rappelez-vous : l'angle d'incidence égale l'angle de réflexion, et ce, au niveau microscopique.
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| Le carton noir mat a très peu de spéculaire puisque sa surface est trop irrégulière au niveau microscopique. |
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| Idem pour le carton blanc. |
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| Le miroir reflète les rayons de manière extrêmement cohérente (du moins si ce n'est pas des traces de doigts) : il ne renvoie que du spéculaire! Ici le focus est fait sur la lampe. |
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| Le papier d'aluminium crée des spéculaires presque autant que le miroir, sauf que les angles sont trop irrégulier pour qu'on y voit une réflexion cohérente. |
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| Le carton lustré est très irrégulier, mais tout de même lustré, le spéculaire est donc assez vaste. |
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Le verre laiteux blanc fait réfléchit une bonne proportion de la lumière de manière cohérente.
Le spéculaire est dur et intense. |
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| Le verre noir texturé fait plusieurs spéculaires distincts, étant donné sa surface irrégulière mais lisse. |
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| Le plastique vert perlé diffuse le spéculaire et crée un effet agréable à l'oeil. |
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